LES MICROBES DE DIEU
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J’ai une tendresse particulière pour ce livre, que je « redécouvre » en le feuilletant de temps à autre et je me souviens de toutes ces aubes à la chandelle où j’écrivais avec ou sans pep’s, aux heures pages blanches et à celles enfiévrées, et les tasses de café et les cigarettes, dans un bureau aménagé au dernier étage d’une maison de maître vigneron… avec le grenier qui foutait le camp derrière moi. Et puis sa couverture qui porte le souvenir d’une balade dans un très ancien temple en Thaïlande, où il y avait ce visage de Bouddha, incrusté entre les racines d’un arbre gigantesque.
Quatrième de couverture
Nous ne pouvons imaginer une autre société si nous ne rêvons pas d’abord à ce que nous pouvons être, acte créateur s’il en est, fondé sur l’adage simple mais galvanisant : du bien-être de tous, dépend celui de chacun.
L’histoire de Sasha Miller, photographe de guerre, est aussi la nôtre. Toutes les horreurs qu’elle a visionnées, les mêmes que l’on digère quotidiennement entre la poire et le fromage, l’ont dépouillé d’elle-même, la laissant au bord de la folie. Elle a le choix, tout comme chacun de nous, entre se laisser dominer par les événements, se soumettre à la dictature d’une pensée globale ou bien se battre pour que sa vie retrouve ses marques et cesse d’être collaboratrice d’un système qui prône une démocratie heureuse en laminant ses ouailles.
Un voyage qui la mènera jusqu’en Cappadoce et de nombreuses rencontres lui redonneront l’appétit de vivre.